La machine du Bonhomme Sept-Heures



Voici un projet tout à fait fascinant mis en branle par le bédéiste Christian Quesnel. Quatre artistes visuels de l'Outaouais et quelques collaborateurs se sont inspirés en toute liberté de quatre de mes nouvelles pour produire autant de récits graphiques qui débordent les cadres de la bande dessinée traditionnelle.

À l'invitation de Christian, j'ai proposé une douzaine d'histoires parmi lesquelles les artistes ont effectué leur choix. On trouve donc au sommaire de la Machine du Bonhomme Sept-Heures: «De l'amour dans l'air», par Marie-France Thibault (illustrations), Danielle Grégoire (adaptation) et Guy Jean (texte); «Œillades», par Stanley Wany; «Regarde-moi», par Anik Deslauriers et Aline Bégin; ainsi que «Il ne faut pas que je dorme», par Dominique Laurent.

Le livre est vraiment somptueux, papier glacé, 112 pages en couleurs, et richement présenté et décoré par Christian Quesnel.

Quelques points de vente sont prévus à Montréal, des librairies offrant un bon choix de BD: Fichtre!, Studio 9, Planète BD et Monet. Le livre est disponible en librairie en Outaouais, et on peut aussi se le procurer sur le site du Studio Premières Lignes.


Studio coopératif Premières Lignes
39, rue Leduc
Gatineau QC J8X 3A3

Illustration de couverture par Christian Quesnel








La Machine dans les médias


Dans le magazine littéraire Québec français
Dans Voir Ottawa-Gatineau
Sur Psychovision.net
Sur le portail Khimaira



Lancement de la Machine




Le lancement de la Machine du Bonhomme Sept-Heures a eu lieu à la Maison des auteurs, à Gatineau. Les gens étaient invités à venir veiller au corps dans une soirée tout en noir. Reposant dans sa bière, le Bonhomme attendait son heure.






Sur le perron





Avant l'heure où les ténèbres envahissent les lieux, plusieurs machinistes se trouvaient déjà sur place, devisant sur la terrasse. De gauche à droite: Aline Bégin (qui a travaillé sur «Regarde-moi»), le poète Guy Jean et Marie-France Thibault («De l'amour dans l'air»), Dominique Laurent, Claude Sept-Heures-et-quart Bolduc, Anik Deslauriers («Regarde-moi»). (photo par Denis Larsen)






Au travail





Les artistes en ont travaillé un coup ce soir-là. À partir du fond: Marie-France Thibault, Anik Deslauriers, Aline Bégin, Stanley Wany, et une partie de la coiffure de Dominique Laurent.






À la Edgar Poe...





Étant donné le nombre de participants au projet, une présentation était de mise. On aperçoit ici Stanley, Anik, Aline, l'animatrice Caroline Fréchette, Dominique Laurent, ma bière et moi. (photo par Denis Larsen)







Le grand manitou





Cette aventure de la Machine du Bonhomme Sept-Heures a pris naissance dans l'esprit du bédéiste Christian Quesnel. Un bon jour de l'été 2008, il est venu me parler pour la première fois de l'idée de faire adapter certaines de mes nouvelles par des artistes de l'Outaouais. Il désirait produire un album qui repousserait les limites de la BD traditionnelle, qui formerait un tout à la fois éclaté et diversifié. Il a donc choisi son équipe d'artistes. Pour ma part, j'ai proposé un corpus d'une douzaine de nouvelles parmi lesquelles chacun a pu choisir celle qui lui convenait le mieux. Les artistes ont ainsi pu recréer en toute liberté un récit à partir de mes histoires.






Le trio en noir





Maurice, notre dévoué croque-mort, Dominique Laurent et moi. (photo par Denis Larsen)








Avant le lancement












Pendant le lancement





Il y avait foule dans la Maison des auteurs. Il faut croire que personne n'a oublié le terrifiant Bonhomme Sept-Heures.









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